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Handball (N1F) : une reprise dynamique et engagée pour l’ACH

Il souffle un vent nouveau sur la Nationale 1 féminine. Entre exigences physiques revues à la hausse, recrutement ciblé et ambition de placer Angoulême au cœur de la carte du handball, l’ACH lance sa saison avec une intensité rarement vue. Autour d’un staff renouvelé, les joueuses reviennent d’un été rythmé par des programmes individuels, des séances vidéo et un suivi nutritionnel poussé. Dans un championnat plus relevé que jamais, où Celles-sur-Belle ou Mérignac, tout juste descendus de D2, entendent jouer les épouvantails, chaque détail compte. La reprise dévoile déjà des tests cardio draconiens, un calendrier d’oppositions amicales savamment construit et une philosophie de jeu qui ne laisse aucune place au confort. Entre l’équilibre vie professionnelle et terrain, la mise en avant de nouvelles recrues comme Matacha Diarrassouba ou Assa Baradji et l’intégration d’équipementiers — de Nike à Le Coq Sportif — le club charentais se prépare à un marathon captivant. Place à l’analyse détaillée de cette reprise dynamique et engagée.

Préparation physique rigoureuse : tests cardio et reprise musclée pour l’ACH

Dès la première semaine, le ton est donné. Les joueuses se présentent sur le parquet de la Grand-Font, chaussures Hummel aux pieds, prêtes à affronter des batteries de tests aussi variées que redoutables. Le staff, conscient que la Nationale 1 Féminine 2025 appartient à celles qui courent le plus vite et le plus longtemps, a imposé un protocole inspiré des meilleures pratiques scandinaves. Chronomètre en main, le préparateur enchaîne VMA 30-15, lactate scout et test Yo-Yo intermittent. Objectif : mesurer la capacité à répéter les efforts explosifs, indispensable pour maintenir l’intensité défensive pendant 60 minutes.

Pour s’assurer que le travail individuel a été respecté pendant l’intersaison, le coach rappelle sans détour : « Pas de triche, pas d’excuses. Celles qui n’affichent pas les valeurs cibles repassent par la case gainage avant de toucher un ballon. » L’annonce a un effet immédiat : on voit les visages se tendre, mais aussi un esprit de compétition sain s’installer.

Autour du terrain, la présence de nombreux sponsors – de Puma à Kappa – accentue une atmosphère quasi professionnelle. Chacun sait qu’un moindre relâchement est immédiatement visible, que ce soit à travers la collecte de données GPS ou les rapports corporels établis avec l’appui d’un nutritionniste certifié.

Objectifs physiologiques et méthodologie scientifique

Les données recueillies nourrissent un logiciel d’analyse qui compare instantanément l’état de forme aux standards de la Division 2. Une vingtaine d’indicateurs clés sont suivis. Le VO2 max, par exemple, doit atteindre 52 ml·min⁻¹·kg⁻¹ pour les postes d’arrière, légèrement moins pour les ailières, qui privilégient explosivité et détente verticale. À la fin de la séance, chaque joueuse reçoit un rapport individualisé.

  • Zone rouge : réentraînement immédiat, alimentation adaptée riche en protéines végétales.
  • Zone orange : micro-cycles de soutien musculaire autour du tronc.
  • Zone verte : plan de charge progressif pour monter en régime avant les matches de préparation.
IndicateurObjectif N1F 2025Moyenne entrée 2024Progression visée
VMA (km/h)18,517,2+1,3
Puissance lactique (W/kg)5,65,1+0,5
Temps de récupération 1’ (bpm)-35-28-7
Pourcentage masse maigre (%)7874+4

Si les chiffres paraissent ambitieux, le staff rappelle qu’ils ont été bâtis en comparant les données recueillies au travail réalisé par le Fenix Toulouse la saison précédente. Se mesurer à meilleur que soi : voilà la philosophie.

Les tests ont d’ailleurs déjà révélé un profil spectaculaire : Lisa Hamburger, la demi-centre, a atteint les 19 km/h de VMA, un record interne qui remet la concurrence en état d’alerte. Cette performance étonne et tire l’ensemble du groupe vers le haut.

Insight final : si l’exigence physique fait parfois grincer les dents, elle construit une culture de la performance indispensable pour arracher les matches serrés d’avril.

Stratégie technique et rotations tactiques : l’ADN de jeu réinventé

Après la sueur, place au cerveau. Le nouvel entraîneur, qui a œuvré à la formation de plusieurs internationales juniors, arrive avec un credo : intensité défensive sur 40 mètres, montée de balle éclaire et attaque placée en « piston-liaison » pour faire exploser les blocs bas. Une philosophie qui s’écarte du jeu parfois stéréotypé aperçu lors des dernières saisons. Pour la mettre en musique, il s’appuie sur une rotation à neuf joueuses majeures, plus trois « impact players » prêtes à bouleverser le rythme.

La recherche d’automatismes est donc cruciale. Pendant les trois premières semaines, les entraînements intégrant le ballon occupent déjà 60 % de la charge, et les séances vidéo – inspirées des méthodes de l’entraîneur espagnol Niko Mindegia – complètent l’analyse. La flexibilité du groupe permet de transformer une 3-2-1 en 1-5-0 sur la même action, offrant un brouillage tactique déroutant pour l’adversaire.

Exemple de séquence d’entraînement ciblée

Au cœur de chaque séance, on retrouve un circuit en quatre ateliers :

  1. Lecture de trajectoire : passes laser sur 25 mètres, ballons UMBRO rivés aux mains.
  2. Duel 1 contre 1 : prise d’appuis latéraux répétés, chaussures Adidas boostées par la dernière technologie Torsion.
  3. Transition rapide : récupération, sortie grand côté et passe croisée à la seconde vague.
  4. Finition libre : trois tirs consécutifs en zone restreinte pour accroître la lucidité.

Cet enchaînement est filmé sous trois angles puis analysé en direct. La défense se voit immédiatement sanctionnée ou félicitée, favorisant le réglage instantané plutôt qu’un débrief différé. L’approche est calquée sur ce qu’a développé le club suisse de Bâle dont le modèle est retracé dans ce reportage.

SchémaForces recherchéesLimites potentiellesSolutions envisagées
3-2-1Pression haute
Intercepts
Espaces derrière
Fatigue rapide
Rotation rapide
Repli en 0-6
5-1Bloc compactTirs longue distanceMontée arrière
Médians mobiles
1-5-0Piège couloirsZone centraleFlash anti pivot
  • Avantage principal : obliger l’adversaire à se réadapter en permanence.
  • Risque identifié : besoin d’une cohésion extrême pour éviter les oublis de marquage.
  • Mesure correctrice : micro-séances de communication non verbale après chaque atelier.

La préparation vidéo reste un levier crucial. Les joueuses scrutent la moindre faiblesse adverse à l’aide d’un logiciel d’intelligence artificielle développé par une start-up locale. Chaque séquence est taguée, ce qui permet de visualiser en 20 secondes toutes les situations de tir à neuf mètres. Une innovation déjà adoptée par la Côte Basque, comme l’explique cet article.

Insight final : en combinant rigueur défensive et créativité offensive, l’ACH veut surprendre… pour mieux dominer.

Mercato 2025 : départs, arrivées et équilibre collectif

Impossible de parler de reprise sans évoquer le marché des transferts. Trois départs marquants : Axelle Iziquel file à Mios, Caterina Mariniello rentre en Italie, et la prometteuse Garance Renollet rejoint Reims. L’ACH perd en vécu mais gagne en potentiel avec trois renforts : Matacha Diarrassouba (pivot, 1m82), Georgina Gowland (ailière gauche, ex-Bordes) et Assa Baradji (demi-centre, Dreux).

Le staff mise sur une alchimie entre jeunesse et leadership. Diarrassouba, formée chez Asics Lyon Métropole HB, offre une densité physique inédite. Gowland apporte vitesse et finition, tandis que Baradji, réputée pour sa vision, devrait fluidifier le jeu. La politique de recrutement, validée en avril, découle d’un constat simple : pour rivaliser avec les « grosses cylindrées », il faut des profils capables de briller sur plusieurs postes.

Répartition des rôles et hiérarchie assumée

LigneTitulaire pressentieRotation cléJeune en développement
GardiennesDutreuilLazzari
ArrièresGaboritThibautEruam
PivotsDiarrassoubaGroo
AilièresGowlandSimonGrangy
Demi-centresBaradjiHamburger
  • Force : diversité de nationalités qui enrichit la culture d’équipe.
  • Faiblesse : manque d’automatismes, notamment défense–pivot.
  • Opportunité : élévation du niveau d’entraînement par concurrence saine.
  • Menace : risque de blessure sur un poste non doublé.

Le club a également présenté un partenariat textile renouvelé avec Bodysong, qui fournira les tenues d’échauffement, tandis que les maillots officiels restent confiés à Le Coq Sportif. Un gage de stabilité marketing qui rassure les sponsors.

Signalons enfin le rôle stratégique de la filière jeunes. Deux espoirs de moins de 18 ans, déjà appelés en équipe de France U17, s’entraîneront ponctuellement avec le groupe N1F afin d’assurer une transition douce vers les seniors.

Insight final : sur le marché des transferts, l’ACH a préféré la pertinence à la quantité, un choix qui pourrait payer dès l’automne.

Matches amicaux de l’été : laboratoire tactique et révélateur d’ambition

À partir du 15 août, l’ACH ouvre son bal de préparation. Première opposition à l’Abbé-Rousselot face à Saint-Junien, suivie d’un déplacement à Bergerac le 19, puis du réputé tournoi de Pessac où deux chocs contre Pessac et Bègles, formations de D2, attendent les Charentaises. Si certaines équipes préfèrent la prudence, l’ACH choisit l’exigence. Chaque confrontation sert de crash-test grandeur nature.

Objectifs par rencontre

  • Saint-Junien : roder la défense 3-2-1, valider les relais pivot-arrière.
  • Bergerac : tester la résistance mentale à l’extérieur, gérer le bruit d’un public hostile.
  • Pessac : travailler la séquence « remontée de balle » avec trois passes maximum.
  • Bègles : affronter un bloc central de haut niveau pour ajuster les enclenchements.
DateAdversaireNiveauVariable étudiéeKPIs visés
15 aoûtSaint-JunienN1Bloc haut+8 interceptions
19 aoûtBergeracPot. N1Gestion bruit-5 % pertes
22 aoûtPessacD2Transitions12 contre-attaques
23 aoûtBèglesD2Duel pivot70 % réussite pivot

Les oppositions face à des clubs hiérarchiquement supérieurs permettent d’évaluer la capacité à élever le curseur. Dans l’histoire récente, on se souvient de l’US Vesoul qui avait construit sa montée sur une série d’amicaux relevés en 2023, comme le rappelle cet hommage à François Rongeot.

Au fil des matches, des repères se créent. Baradji affiche une moyenne de 6 passes décisives, Diarrassouba marque 12 buts en 4 rencontres. Mais l’élément le plus frappant demeure le taux de récupération des ballons sur montée de balle, passé de 34 % la saison dernière à 47 %. Un signe que les efforts cardio portent déjà leurs fruits.

Derrière les chiffres se cache aussi la dimension psychologique. La victoire 27-25 contre Pessac, décrochée sur un bras-roulé de Gowland à la dernière seconde, installe une confiance que les adversaires noteront sûrement dans leur carnet de bord.

Insight final : à travers des amicaux calibrés, l’ACH se forge une identité de challenger qui n’a plus peur de bousculer la hiérarchie.

Un calendrier officiel redoutable : poule relevée et déplacements piégeux

Le championnat 2025 s’annonce corsé. Les rumeurs se confirment : Celles-sur-Belle et Mérignac, rétrogradés de D2, intègrent la poule de l’ACH. Bergerac, finalement maintenu après son appel, ainsi que La Roche-sur-Yon complètent un quinté de favoris. À ces mastodontes s’ajoutent Mios et Pessac, deux outsiders prêts à créer la surprise.

Le club charentais a fait une demande particulière : commencer à l’extérieur le 6 septembre, gymnase de Champniers oblige. Ce sera face à Blanquefort pour la Coupe de France, prélude d’un marathon qui comptera 26 journées.

Zoom sur les séquences clés

  • Septembre-octobre : 4 déplacements sur 6 matches, capitale pour engranger.
  • Novembre-décembre : réceptions de Celles, Bergerac et Mios.
  • Janvier-février : bas de tableau, risque de relâchement.
  • Mars-avril : trio infernal Mérignac-La Roche-Bègles sur 15 jours.
JournéeAdversaireLieuStat clé 2024Objectif 2025
1Blanquefort (CDF)Ext.Victoire +4+6 diff. but
3Celles/BelleDomicileNouveau70 % attaques réussies
7La Roche-YonExt.Défaite ‑2+3 diff. but
12MérignacDom.NouveauLimiter à 24 buts

Pour appréhender ces chocs, une analyse statistique a été conduite sur les temps de déplacement. Les trajets excédant 250 km seront réalisés la veille, avec nuitée, pour réduire le stress. Cette adaptation, coûteuse mais essentielle, a été rendue possible grâce aux partenariats signés avec Nike et Puma. En échange, le club garantit une exposition de marque via des contenus vidéo hebdomadaires.

La poule n’est pas seulement relevée, elle est aussi médiatique. Des affiches comme ACH-Mérignac seront diffusées sur la chaîne régionale, renforçant l’intérêt du grand public. Une aubaine pour un handball féminin qui rêve encore de capter l’attention laissée par l’Euro 2024.

Insight final : entre véritables forteresses et longs voyages, la gestion d’énergie deviendra le fil rouge du championnat.

Culture club : supporters, bénévoles et sponsoring, le triangle vertueux

Au-delà du terrain, c’est toute la culture de club qui se renforce. Les Raquettes Charentaises, groupe de supporters, ont lancé une campagne d’adhésion 2025 incluant un pack éco responsable : écharpe en fibres recyclées Kappa, billet couplé à un transport collectif et don de 2 € pour une association caritative. L’initiative a déjà séduit 600 abonnés, soit 23 % de plus qu’en 2024.

Le club multiplie également les passerelles avec les écoles. Tous les lundis, des joueuses interviennent à l’école Jean-Monnet pour un programme « Hand à 360° ». Vitesse, coordination, confiance en soi : un trio de valeurs qui s’accorde avec l’ADN de la marque UMBRO, nouveau partenaire ballons.

Synergies équipementiers & image de marque

  • Le Coq Sportif : maillot officiel en matière biosourcée.
  • Kappa : pack supporters et street wear.
  • Nike : chaussures exclusives des gardiennes.
  • Bodysong : gamme entraînement ventilée.
  • Hummel : chaussettes de récupération.
PartenaireProduit phareActivation prévueObjectif commercial
NikeShadow Drive 2Clip web 1M vues+12 % ventes rég.
PumaBallon UltraSpinConcours mi-temps2700 unités
Le Coq SportifMaillot HomeFan day 12/102500 maillots

La digitalisation du stade tient aussi une place centrale. Une application dédiée propose stats live, boutique et vote MVP. Les retombées marketing sont déjà visibles : le club a enregistré 18 % d’achats in-app sur les deux premiers mois de test.

Insight final : en misant sur des partenariats responsables et un public fidélisé, l’ACH bâtit un modèle durable qui dépasse la simple performance sportive.

Double projet : concilier vie professionnelle, études et haute performance

À ce niveau, la réalité est loin des paillettes de la Ligue Butagaz Energie. Presque toutes les joueuses de l’ACH travaillent ou étudient. Alison Gaborit est infirmière de nuit, Lisa Hamburger suit un master en management du sport, tandis que Julie Da Silva gère à mi-temps un cabinet de kinésithérapie. L’équation est délicate : 5 entraînements hebdomadaires, un match le week-end et la récupération indispensable.

Organisation hebdomadaire type

JourSessionCréneauFocusCommentaires
LundiVidéo + cardio18-20h30AnalyseAdaptée horaires de travail
MardiTech./Tactique20-22hPiston-liaisonPoste par poste
MercrediRepos actifLibreMobilitéSoutien kiné
JeudiOpposition19-21h30Match interneDonnées GPS
VendrediPré-match18-20hPhase arrêtéeVisualisation mentale
  • Enjeu principal : prévenir la fatigue chronique.
  • Solution : jour de repos déplacé au mercredi, coaching sommeil.
  • Résultat attendu : réduction blessures musculaires de 15 %.

Le club investit dans un partenariat avec une start-up de micro-sieste. Avant chaque entraînement tardif, un espace plongé dans une pénombre douce accueille les joueuses pour 20 minutes de récupération. Les premiers retours indiquent une baisse de la fréquence cardiaque nocturne de 6 bpm.

L’aspect psychologique n’est pas négligé. Un psychologue du sport spécialisé en préparation mentale, ayant travaillé avec les Reds du Pouzin (voir cet article), intervient deux fois par mois. Élaboration d’objectifs SMART, gestion des émotions, cohésion d’équipe : tout est passé au crible.

Au final, le double projet devient un avantage. Les joueuses développent des compétences transférables : gestion du temps, résilience, leadership. Le club en fait un argument de communication et attire ainsi de nouvelles recrues séduites par l’idée de ne pas sacrifier leur avenir professionnel.

Insight final : loin d’être un frein, la pluralité de carrières nourrit la force mentale de l’ACH, prouvant que performance et équilibre peuvent coexister.

Projection 2025 : l’ACH, locomotive d’un handball féminin en pleine mutation

Au bout de chaque effort se dessine un horizon. Si le club ne fixe pas la montée en D2 comme objectif immédiat, il travaille à poser les jalons d’une transition réussie. L’argument est double : asseoir une structure professionnelle et créer un vivier local. Pour cela, l’ACH parraine déjà quatre clubs de la région, organise des clinics et participe au plan fédéral « Génération 2028 », visant les JO de Los Angeles.

Indices de performance clé pour la saison

  • Top 5 en championnat.
  • Quart de finale Coupe de France.
  • +10 % d’affluence moyenne.
  • 0,85 but encaissé par minute jouée.
  • 90 % satisfaction supporters.
Paramètre2024Cible 2025Outil de suivi
Budget (k€)520600Tableau Board
Licenciées jeunes180240Plateforme Fédé
Matchs TV48Accord régional
Partenaires majeurs68CRM

À moyen terme, le club étudie également la possibilité d’un centre de performance partagé avec d’autres disciplines. Une manière de mutualiser les frais et d’offrir, à la manière de ce que met en place le PSG Handball chez les hommes, un écrin technologique unique au féminin.

La tendance nationale joue en faveur de l’ACH : la médiatisation du handball féminin bondit. L’an dernier, la finale Ligue Butagaz Energie a dépassé le million de téléspectateurs. En surfant sur cet engouement, Angoulême pourrait devenir la locomotive du grand ouest, influençant des territoires comme Poitiers ou Limoges.

Insight final : avec une vision à la fois réaliste et ambitieuse, l’ACH ne se contente plus d’exister ; il façonne le futur du handball féminin dans la région.

FAQ

  • Quelle est la principale ambition sportive de l’ACH pour 2025 ?
    Terminer dans le Top 5 de Nationale 1 et atteindre les quarts de finale de la Coupe de France.
  • Comment le club concilie-t-il vie professionnelle et performance ?
    En adaptant les horaires d’entraînement, en offrant un jour de repos en milieu de semaine et en investissant dans des solutions de micro-sieste et de suivi nutritionnel.
  • Quels sont les principaux nouveaux partenaires ?
    Parmi les plus visibles : Nike pour la chaussure, Puma pour le ballon match, Le Coq Sportif pour les maillots et Bodysong pour l’entraînement.
  • Quelles joueuses ont rejoint l’effectif ?
    Matacha Diarrassouba au pivot, Georgina Gowland à l’aile, et Assa Baradji à la mène.
  • Où suivre l’actualité de l’équipe ?
    Sur l’application officielle du club, les réseaux sociaux et les diffusions régionales, ainsi que sur les plateformes partenaires comme Poitiers EC Handball.

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