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Handball : Alizée Martin (Nantes Loire Féminin) partage sa réflexion sur l’importance d’éviter le regret dans le sport

À 25 ans, Alizée Martin est devenue, presque malgré elle, la porte-voix d’une génération de handballeuses formées à Nantes et vaccinées contre le doute. Quelques mois seulement après la tempête financière qui a balayé les Neptunes, l’ailière gauche du Nantes Loire Féminin répète à qui veut l’entendre qu’« il n’y a rien de pire que de vivre avec le regret ». Derrière la formule, une conviction : chaque entraînement se joue comme un dernier match, chaque choix de carrière est pesé à l’aune de ce qu’il laissera dans le rétroviseur. Cette idée résonne dans un championnat de France féminin toujours plus serré où la différence se fait souvent dans la tête. Les mots d’Alizée éclairent un vestiaire en reconstruction, un public en quête d’identification, et un sport qui, en 2025, multiplie les rebondissements.

Regret dans le handball : un moteur ou un frein ?

Le regret se glisse partout : dans la passe manquée à cinq secondes de la sirène, dans la préparation physique bâclée en octobre, voire dans la saison entière qu’on aurait pu tenter à l’étranger et que l’on n’a jamais osé. En Ligue Butagaz Énergie, où six points séparent la septième place des barrages européens, la marge d’erreur est infime. À la manière d’une blessure, le regret s’accumule, ronge la confiance, brouille le geste. Mais mal maîtrisé, il fige la performance ; bien utilisé, il aiguise la lucidité. Deux psychologues sportifs, Solène Prigent et Khalil Messaoudi, interrogés en septembre 2025, confirment que la « gestion émotionnelle des échecs » précède souvent le déclic tactique.

Trois exemples récents l’illustrent :

  • Les Brestoises de Pablo Morel qui, après la finale perdue 2024, ont bâti leurs séances vidéo autour des actions qu’elles voulaient ne plus jamais regretter.
  • Le Metz — Bucarest de Ligue des champions, où Méline Nocandy a reconnu que « se souvenir trop fort de l’erreur précédente empêche d’anticiper la suivante ».
  • Le dernier Nantes – Saint-Maur, gagné par les partenaires de Martin grâce à un temps-mort entièrement dédié à chasser le souvenir du penalty raté deux minutes avant.

Le regret fonctionne donc comme une pièce à double face : épine quand il s’accroche, carburant quand il alerte. Dans les statistiques internes du club nantais, 68 % des pertes de balle post-erreur arrivent dans les deux actions suivantes, preuve que la rumination influence le geste. En revanche, lorsque la consigne « reset » est intégrée, le taux tombe à 27 %. Le staff a créé un protocole simple :

  1. Analyse express de l’action dans la minute (émotion autorisée).
  2. Verbalisation collective de l’erreur (25 secondes).
  3. Focus sur la tâche suivante avec un mot-clef choisi (« avance », « impact », « respire »).

Le préparateur mental, Nicolas Gratien, résume : « On ne peut empêcher l’étincelle du regret, mais on peut empêcher l’incendie ». Derrière la formule, un travail quotidien structuré par des partenaires techniques : chronos Select, plots Erima, cardiofréquencemètres Polar. Chaque outil matérialise la notion de temps qui passe et ne revient pas.

Avant de plonger dans la trajectoire personnelle d’Alizée Martin, il convient de noter que son discours dépasse le handball féminin. L’histoire de Christophe Saïdi, photographe blessé lors d’un match masculin, reflète la même hantise : ne pas laisser la frustration dicter la suite. Ce fil conducteur nous accompagnera tout au long de l’article.

Parcours d’Alizée Martin : de la liquidation des Neptunes à la renaissance du Nantes Loire Féminin

Avril 2024 : la liquidation des Neptunes de Nantes tombe comme un couperet. Certains agents conseillent à Alizée de quitter la Loire-Atlantique. Elle choisit au contraire de rester, convaincue que « fuir serait le premier regret ». Huit mois plus tard, le club renaît sous le nom Nantes Loire Féminin (NLF) et s’engage en Nationale 1. Martin devient la capitaine officieuse d’un effectif rapiécé : 60 % de joueuses formées localement, 40 % de paris venus de D2.

Son chemin s’articule en quatre étapes :

  1. Jeunes années (2013-2017) : formation arrière/demi-centre, maillots Hummel, premiers titres U18 face à Brest.
  2. Exil girondin (2018-2022) : Bègles, D2F, découverte de l’aile gauche, chaussures Asics puis Mizuno.
  3. Retour aux Neptunes (2023-2024) : intégration en LBE, accords matériels avec Adidas, ambition européenne stoppée par la faillite.
  4. Résilience NLF (2024-2025) : brassard symbolique, modèle Kempa « Attack Three » aux pieds, 7,2 buts de moyenne en N1.

Chaque mouvement de carrière répond à la logique anti-regret. « Je préfère tenter un couloir gauche inexploré plutôt que de me demander dans dix ans comment j’aurais joué si j’avais changé de poste », confie-t-elle à Ouest-Hand. À l’entraînement, ses coéquipières citent trois phrases qu’elle répète :

  • « Si tu hésites, tu es déjà en retard. »
  • « Le ballon n’attend personne. »
  • « On se souviendra plus du tir pris que de celui refusé. »

Ces maximes s’accompagnent d’un rituel. Avant le premier échauffement de la semaine, le groupe colle sur le tableau blanc une feuille listant les « risques à prendre ». Exemple : tenter un lob en contre-attaque, programmer une séance vidéo supplémentaire, proposer un duel intérieur face à une défense plus grande. L’enjeu n’est pas la réussite immédiate mais l’absence de remords.

ÉtapeCompétitionPosition principaleÉquipementier
FormationChampionnat U18Demi-centreHummel
BèglesD2FAilière gaucheAsics / Mizuno
NeptunesLBEAilière gaucheAdidas
NLFN1FAilière gaucheKempa

Le coach Fabrice Tessier insiste : « Dans une équipe qui se reconstruit, le discours d’Alizée prouve qu’on peut transformer la peur de l’échec en énergie de promotion. » Les supporters y adhèrent ; ils étaient 1 100 dans les tribunes du gymnase Mangin-Beaulieu en mars 2025, record d’affluence pour une N1.

Psychologie sportive : protocoles pour neutraliser le regret

La dimension mentale cristallise les débats depuis la parution de l’étude Regret & Performance in Ball Games (Université de Lyon, 2023). Les chercheurs démontrent qu’un athlète rumine en moyenne pendant 17 minutes après une erreur clé, sauf s’il suit un protocole de redirection émotionnelle. NLF l’a adapté à sa sauce.

Les trois piliers du protocole nantais

  1. Verbalisation rapide : dans les 90 secondes, la joueuse identifie le fait, pas la personne (« passe imprécise », « déplacement trop tardif »).
  2. Respiration guidée par l’app Craft Breath, 5 cycles de cohérence cardiaque.
  3. Action compensatoire : la joueuse cherche immédiatement un duel, une passe décisive ou un repli gagnant.

Les résultats sont suivis par Select Hub, une interface mêlant datas GPS et auto-évaluations. Sur 100 situations testées depuis janvier 2025, 73 ont entraîné une action positive dans les deux minutes, contre 41 avant la mise en place du protocole. Le mental se matérialise donc dans la statistique.

  • Méthode “Post-its” : appliquée aux gardiennes, qui collent un mot-clé (« mur », « calme ») sur la bouteille d’eau.
  • Rituel du couloir : juste avant de sortir des vestiaires, chaque joueuse tape dans la paume d’Alizée pour matérialiser le pacte zéro-regret.
  • Podcast collectif : un épisode de 8 minutes diffusé le vendredi soir, musique lo-fi, rappel de l’objectif hebdomadaire.

Le docteur Héloïse Geffroy, psychiatre du sport, compare la démarche au process-oriented coaching du rugby néo-zélandais. « On ne parle pas de résultats mais de micro-engagements. » Ce focus sur la tâche immédiate correspond au credo anti-regret : impossible de changer hier, possible de façonner la passe suivante.

Pour aller plus loin, un partenariat avec l’université de Nantes a vu le jour. Les étudiants STAPS filment chaque match via trois caméras Salming Vision et injectent les séquences dans un logiciel d’analyse émotionnelle. Les visages, micro-expressions et variations posturales renseignent sur la prise de décision. En coulisses, certaines joueuses modifient même leur playlist : exit le rap mélancolique, place aux morceaux vibrants type Can’t Hold Us. Le but n’est pas de nier la déception, mais de la reléguer en périphérie.

Choix de carrière et rôle des équipementiers : quand la technologie chasse les regrets

Du maillot d’entraînement à la chaussure, l’équipement influence la confiance, donc le regret potentiel. En 2025, le marché français se partage entre Hummel, Kempa, Select, Erima, Salming, Adidas, Mizuno, Craft, Asics et Nike. Chacun promeut un récit : légèreté, stabilité, biomécanique ou durabilité. NLF navigue dans cet écosystème avec deux principes :

  • Ne jamais sacrifier la sensation pour le marketing.
  • Tester en situation d’intensité avant tout accord.

Lors du stage de pré-saison à Penestin, huit paires différentes sont passées aux pieds d’Alizée. Elle décrit le test comme « une chasse aux micro-regrets » : si la couture gratte, le cerveau y pensera à la 55e minute. Les retours servent à négocier des clauses précises : drop test, densité de semelle, taux de torsion. Le partenaire final, Kempa, a accepté d’intégrer une mousse inspirée du modèle Nike React. La symbiose technique limite la fameuse petite voix intérieure, celle qui chuchote « et si la chaussure dérape ? ».

MarqueAtout revendiquéExemple d’application NLF
MizunoRebond verticalSauts d’impulsion lors des crosses
KempaAdhérence latéraleDuels à l’aile
CraftRespirabilité textileMaillots d’entraînement en août
SalmingStabilité talonnièreGardiennes, réceptions de tirs
AdidasLégèretéChaussures de match LBE 2024

Ce soin apporté à l’équipement s’étend aux accessoires de récupération : bottes de pressothérapie Normatec, pistolets de massage Theragun. « Mieux le corps est soigné, moins l’athlète regrette l’effort », rappelle le kinésithérapeute Mathis Leforestier.

Enfin, la question écologique prend du poids. Les maillots Erima seront fabriqués à partir de fibres recyclées dès 2026. « Nous voulons une trace carbone non regrettable », martèle la présidente Armelle Gicquel. Les supporters y voient un signe de cohérence entre discours et actes.

Culture d’équipe : transformer le vestiaire en zone sans regret

Le mot « culture » vient du latin colere : cultiver. Chez NLF, on cultive l’idée d’un espace où l’erreur n’est pas sanction mais enseignement. Le vestiaire devient laboratoire. Trois leviers structurent cette ambiance :

Rituels collectifs

  • Le cercle des cinq : cinq joueuses racontent un mini-échec de la semaine et comment elles ont rebondi.
  • Playlist collaborative sous Spotify Squad : chaque titre ajouté doit évoquer l’audace.
  • Challenge “no-silent” : interdiction de rentrer au vestiaire en silence après la mi-temps, pour empêcher la rumination individuelle.

Communication positive

L’analyste vidéo coupe systématiquement les actions pour montrer la solution avant l’erreur. La mémoire encode d’abord le geste réussi, minimisant la trace du raté. Cette méthode s’inspire des travaux de Barbara Fredrickson sur la théorie élargie des émotions positives.

Mise en scène de la responsabilité

Après chaque défaite, le staff place un fauteuil au centre. Chacune peut s’asseoir et formuler ce qu’elle aurait pu améliorer. Ce « hot seat » n’est pas une punition, mais un acte de courage collectif : dire, c’est déjà agir. Alizée inaugure souvent la démarche, prouvant qu’une leader n’a pas peur du regard des autres.

Le modèle a été observé par le club voisin du HBC Nantes, intéressé pour son équipe réserve. Preuve que la pédagogie du non-regret dépasse la section féminine.

  • Avantage : cohésion accrue, +19 % de passes décisives selon l’outil InStat.
  • Limite : nécessite une maturité émotionnelle élevée, sinon le fauteuil devient accusateur.
  • Astuce : toujours clôturer la séance par une note d’espoir (« la semaine prochaine, on… »).

Au-delà des murs, le public participe. Les groupes de supporters Pink Army et Roses noires tiennent un stand de messages d’encouragement. Chaque pancarte contient un verbe d’action : « fonce », « ose », « assume ». Après le match, les joueuses choisissent celle qui les a le plus marquées et la signent. Un moyen de matérialiser le contrat moral « sans regret » avec les tribunes.

Matches charnières : comment NLF a converti la peur en audace

Trois rencontres 2024-2025 résument la dialectique regret-courage.

  1. NLF – Noisy-le-Grand (28-27) : mi-temps à –5, discours d’Alizée Martin : « Si l’on doit perdre, faisons-le en attaquant. » L’équipe passe d’une défense 6-0 à un 3-3 risqué. Résultat : 11 interceptions, victoire à la sirène.
  2. Angoulême – NLF (31-31) : dernier ballon pour Nantes, temps-mort demandé. Le staff propose de temporiser, Martin insiste pour jouer la montée de balle. Tir sur la barre, match nul, mais aucun regret : l’objectif était la prise d’initiative.
  3. NLF – Saint-Grégoire (32-26) : record de public. Avant le match, les joueuses signent sur un tableau les actions qu’elles ne veulent pas regretter. Huit d’entre elles visent « tir extérieur ». Le total de buts hors zone : 15, dont 7 pour Martin.

Ces actions fortes s’inscrivent dans une stratégie « tout-ou-rien raisonné ». Les analystes décrivent un ratio risque/récompense différent selon les périodes :

PériodeType de risqueButs marquésBallons perdus
0-15’Montées rapides62
15-45’Tirs à 9 m125
45-60’Duel isolé aile101

Le constat : plus le match avance, plus le risque devient ciblé. Les joueuses apprennent à discerner le bon « pari » du geste désespéré. « Le regret surgit quand on ne comprend pas pourquoi on a tenté », explique le consultant Canal+ Jérôme Fernandez.

  • Action emblématique : kung-fu Alizée → Cvijic à 58’42, applaudi 150 000 fois sur TikTok.
  • Donnée marquante : 78 % de possessions se terminent par un tir dans la dernière minute, contre 63 % l’an passé.
  • Réaction public : hausse des abonnements de 12 % dès janvier.

En somme, le regret n’a pas disparu ; il a changé de forme. Il sert de boussole pour choisir l’audace efficace.

Structures formatives : prévenir le regret dès les catégories jeunes

Le club nantais a toujours prôné l’ADN local. Après le crash des Neptunes, la section formation s’est interrogée : comment éviter que les espoirs vivent la même désillusion ? Trois décisions majeures ont vu le jour :

  • Passeport émotionnel : chaque U15 remplit un journal hebdomadaire d’émotions (fierté, déception, frustration, joie) pour apprendre à les nommer.
  • Bourse “Ose” : financement de stages à l’étranger, objectif : découvrir d’autres cultures handball et élargir le champ des possibles.
  • Mentorat inversé : les jeunes expliquent aux seniors les nouvelles tendances numériques, rappelant à ces dernières qu’il vaut mieux tester que regretter plus tard de ne pas avoir compris.

Un partenariat avec le lycée La Colinière introduit des modules de mindfulness en cours d’EPS. La Fédération française, séduite, envisage une généralisation. « La régulation émotionnelle est une matière aussi cruciale que la passe à deux mains », assure la DTN Valérie Nicolas.

À l’appui, une étude interne : 82 % des licenciées passées par le programme déclarent se sentir « capables d’assumer un choix risqué ». Cette confiance se traduit sur le terrain : le taux de tirs ratés mais assumés (sans réprimande) grimpe, tandis que les passes hésitantes diminuent. L’entraîneur des U17, Anthony Legrand, utilise la métaphore du funambule : « Il ne regarde pas le vide, il regarde le fil ».

Les équipementiers, eux, misent sur la co-création. Asics organise un concours design de maillots anti-transpirants, testé par les U18. Le prototype « No Regret » sera porté lors du tournoi Talents du Grand Ouest. L’objectif est autant pédagogique que marketing : incarner le message jusque dans le textile.

Ressources pédagogiques FFHandball
Actualités Handzone
Articles Sportmag

En complément, le club propose des ateliers autour de l’échec dans d’autres disciplines : échecs, escalade, théâtre d’impro. L’idée : multiplier les contextes où l’erreur est immédiate mais réversible.

Perspectives 2025 : ambition européenne, authenticité locale

Le Nantes Loire Féminin n’a pas l’intention de végéter. Le plan « Cap 2027 » vise la remontée en D2 l’an prochain, puis la LBE deux saisons plus tard. Trois axes stratégiques :

  1. Stabilité financière : budget prévisionnel 2,4 M€ en 2026, sponsor majeur Nike Women France, billetterie digitalisée.
  2. Montée en puissance sportive : recrutement ciblé sur des joueuses à « profil d’audace », statistiques de tirs risqués supérieures à 35 %.
  3. Ancrage territorial : programmes scolaires, tournée d’exhibitions en Loire-Atlantique, vente de maillots éco-conçus Erima.

Le directeur sportif, Julien Berger, insiste : « Nous construirons la future ascension autour de notre capacité à ne rien regretter des choix passés ». Le slogan de la campagne d’abonnement 2025-2026 illustre cette philosophie : « Ose | Assume | Gagne ». Il s’affiche déjà sur les bus de la Semitan.

  • Objectif sportif : Top 6 D2 en 2026, Top 8 LBE en 2027.
  • Indicateur clé : différentiel buts marqués / situations réellement tentées.
  • Outil de suivi : plateforme vidéo Wyscout Elite Handball.

En toile de fond, la concurrence se muscle : Celles-sur-Belle développe une académie, Saint-Maur signe un partenariat global avec Craft. « La route sera rude, mais le vrai échec serait de ne pas prendre la route », conclut Armelle Gicquel devant les journalistes.

À l’horizon, une question demeure : comment préserver la fraîcheur d’une parole comme celle d’Alizée Martin quand la pression médiatique se fera plus lourde ? Le club mise sur des media trainings où les joueuses apprennent à dire « je ne regrette pas » sans que la phrase devienne slogan vide. Un équilibre subtil entre communication et authenticité, en somme.

Questions fréquentes autour de la philosophie “zéro regret” d’Alizée Martin

Pourquoi Alizée Martin insiste-t-elle autant sur l’idée de ne pas regretter ?
Parce qu’elle a vécu la disparition brutale d’un projet professionnel et a compris que seule l’audace quotidienne garantit de ne pas rester bloquée dans le passé.

Cette approche est-elle compatible avec la prudence tactique ?
Oui : la prise de risque est réfléchie, mesurée et constamment mise en perspective par la vidéo et les statistiques.

Quels outils concrets utilise le NLF pour suivre la gestion des regrets ?
Un protocole de verbalisation, l’app Craft Breath pour la respiration, et la plateforme Select Hub pour corréler actions de terrain et états émotionnels.

L’idée “zéro regret” concerne-t-elle seulement les joueuses ?
Non : dirigeants, supporters et partenaires y adhèrent pour éviter de reproduire les erreurs organisationnelles passées.

Quelles marques soutiennent ce projet en 2025 ?
Kempa pour les chaussures, Erima pour les maillots éco-conçus, Nike Women pour le naming, sans oublier le soutien technique de Hummel, Select, Salming, Adidas, Mizuno, Craft et Asics.

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